Un peu de tout

 

Il y a très longtemps, quand la Terre était jeune, cinq êtres prirent consciences qu’ils existaient : Soleil, Vent, Feu, Eau, et Nature.

Ils travaillaient de bon cœur ensemble dans une union générale indissociable.

 

Une Prophétie fut faite lors de l’éveil des cinq : Ils peupleraient le monde en essayant de créer la créature parfaite, qui serait leur dernière création, et qui sauvegarderait l’équilibre du bien et du mal. Ainsi firent-ils. Au début, l’expérience leur fit défaut. Ils ne connaissaient pas beaucoup l’art de créer. Ils créèrent les minéraux (pas assez vivants), puis les végétaux, et finissent par arriver aux animaux. Puis aux créatures qui « pensent » réellement. Ils donnèrent ainsi un visage à la Terre grâce à leurs diverses créations et à leurs essais. Elle pris forme sous leur main.

Parmi les animaux, arrivant aux nains etc.… (Toute créature magique, ou presque) et dans cette « classe » créent finalement les dragons, créature sans égal, dernière œuvre, la plus proche de la perfection. Mais dans leur ascension, ils ont donnés une apparence au monde, qui était vide à part eux quand ils avaient pris conscience, et cette quête du parfait à créé tout ce qui fait que le monde n’est plus un désert de terre brune, ou pire.

            Bien sûr, le Mal tenta de détruire ces créatures par une foule de moyens que son ingéniosité ne cessait d’inventer, car il préférait le vide et l’absence. Mais jamais la terre ne retourna à sont état premier de désert aride et sans vie, sans aucun relief. Vide. Pourtant, le danger de revoir ce jour ressurgit avec la création des hommes, dont les défauts les poussaient à détruire et à se détruire eux même, entraînant la chute du monde avec la leur. Ce jour n’est pas encore arrivé, mais le danger n’en est pas moins présent, prenant au contraire de l’importance avec l’accroissement de la puissance des humains, et de leur pouvoir.

 

Quand les Cinq eurent pour projets de créer les elfes, ils se mirent d’accord globalement sur le type de créature qui les rapprocherait de la perfection, mais ne parvinrent pas à s’entendre sur les détails. Ils créèrent donc chacun leur race d’elfe, bien que l’ébauche de base fut la même.

Eau créa les elfes marins. Gris et bleu étaient leurs couleurs. Ils étaient constants, fidèles, et ne manquaient jamais à leur parole qu’ils ne donnaient donc qu’après mûre réflexion. Ils aimaient la mer avant toute chose, et jamais ne l’oubliait. Ils vivaient donc près des côtes, et ne s’en éloignaient que rarement, ou en cas de besoin pressant. Ils fondèrent ainsi beaucoup de ports au long de ces bordures de mer, qui devinrent peu à peu des ports fortifiés avec l’avance de l’Ombre des humains.

 Ils construisirent les plus beaux et les plus grands navires de ce monde, passant maîtres dans l’art de charpenter. Leurs bateaux évoluèrent rapidement de la simple pirogue dans une seule pièce de bois à d’immenses vaisseaux bardés de fer, avec lesquels ils pouvaient sans peine se lancer à l’assaut des flots, et partir loin des côtes pour des durées étonnantes.

Ils explorèrent ainsi les mers, et leur connaissance de la géographie leur permis de dessiner les premières cartes des terres et du monde. Mais ils n’aimaient pas combattre, du moins pas autre part que sur leur élément, avec leurs puissants navires. Ils se lançaient rarement dans des guerres, mais c’étaient eux qui se chargeaient de préserver les terres des elfes, qui étaient entourées de flots.

 

Les elfes Solaires, œuvres de Soleil, eurent pour eux le prestige. Ils se jugeaient grand par leur esprit. Ils étaient toujours contents d’eux bien qu’ils s’en demandaient toujours plus, ayant une grande volonté, car ils n’étaient pas pour autant aveugles, et se rendaient compte que leurs actions n’étaient pas parfaites. Pourtant, ils en étaient en général très satisfaits. Ils s’estimaient comme des êtres intelligents, ce qui pouvait éventuellement être une source de vexation pour leur entourage, car ils avaient toujours cette façon d’affirmer le bien qu’ils pensaient d’eux, ce qui faisait croire aux autres qu’ils étaient inférieurs. Particulièrement détestés par les humains pour cette raison, ils ne s’en trouvaient pas incommodés, étant d’un léger égoïsme naturel.

Ce défaut n’altérait pas leurs travaux, et ils furent les plus grands forgerons de tout les temps avec les elfes noirs, forgeant des armures souples, légères, et plus résistantes que du granit. Leur couleur demeura le jaune, leur métal l’or. Cette couleur apparaissait souvent prédominante sur leurs armoiries ou blasons, et sur leurs étendards.

Les elfes Solaires étaient également dotés d’une curiosité insatiable et sans bornes, se mêlant parfois de choses dans lesquelles ils regrettaient alors d’être impliqués. Mais la curiosité est une preuve d’intérêt qui n’est pas toujours négative.

Avec l’aide des elfes de feu, ils furent les plus grands chasseurs d’hommes, leur vouant une haine comparable à celle qu’ils inspiraient à cet ennemi de toujours.

 

Feu créa alors les elfes Noirs. Leurs couleurs, le noir et le rouge, les définissent bien : adeptes de l’amour, parfois tristes et mélancoliques, ils représentaient l’espoir de la race des elfes. Mais leur désespoir n’est jamais éternel. Forgerons, ils furent les réalisateurs des plus magnifiques et tranchantes épées et flèches que les elfes manièrent jamais. S’impliquant plus que tout autre dans les conflits, par vengeance et haine des humains, ils formaient une société de redoutables combattants.

 

=> Sylvains : Vert, liberté, espoir, santé, joie… Amoureux des arbres et des animaux, bref, de la création vivante des 5. « Cultivateurs », défendant la nature. Planteurs.

=> Hauts elfes : Sagesse, pureté, plus grands elfes magiciens, plus sages, argent.

 

Partant du principe que la guerre n’est jamais, ou rarement, la bonne solution, les différentes races d’elfes avaient toujours réglées leurs différents pacifiquement, ce qui leur permis de prospérer. Et bien qu’ils fussent créés en désunion, une base identique solide leur permis de faire preuve de sagesse, et de ne jamais se battre entre eux. Les très rares exceptions à cette philosophie furent chaque fois signe de grand malheurs, et les elfes soupçonnaient alors le Mal de tenter de semer la discorde parmi eux. La seule pensée de cet ennemi commun suffisait ainsi à leur faire oublier leurs querelles. 

 

            On apprit après la naissance des elfes que les cinq avaient d’abord créé un brouillon, pour s’en représenter l’apparence physique, ainsi que pour se faire une idée sur l’apparence morale.

            Ainsi naquirent les hommes. Mais le fait qu’ils furent créés avant les elfes fit qu’ils étaient moins parfaits qu’eux. Leur durée de vie était largement inférieur, leur résistance morale plus faible, bien que leur résistance physique était la même que celle des elfes. Ils étaient en moyenne légèrement plus petite (1 m 80 pour les hommes, 1 m 90 pour les elfes), mais il n’était pas rare de trouver un homme plus grand que la moyenne dépasser un elfe. Leur endurance également était moindre, ainsi que leur sagesse. Cependant, bien que les elfes aient été créés dans la désunion, ils restèrent unis, eux, par la suite. A l’inverse, les hommes détestaient en général les différences entre eux et les autres races. Ici apparaît le défaut que les cinq regrettèrent le plus. Les hommes se firent un nombre incalculable de fois la guerre entre eux, autodétruisant leur race et ce qui les entourait, et ce défaut est toujours présent dans leur cœur : ils n’ont de cesse de détester, pour la plupart, les humains différents d’eux, et de vouloir les détruire. Ces guerres fratricides et retardèrent énormément leur développement, et le retarde toujours, car ils ne tirent que peu de leçons des morts en nombre toujours croissant que provoque leurs folies meurtrières. Malheureusement, une fois une création faite, on ne peut la changer, et les Cinq se désolent sur cette race.

            Car, en réalité, les humains furent créés avec des apparences physiques différentes, propres à chacun des cinq. Ces derniers y voyaient une diversité intéressante, évitant l’uniformité totale, qui ne peut être que fatigante pour qui la regarde. Ils regrettèrent donc amèrement ce choix par la suite, et firent des elfes un mélange. Car chacun avait donné une couleur qui le représentait à sa population d’homme. Feu créa des hommes de couleur noir, Soleil des hommes de couleur jaune, Nature des hommes de couleur rouge, et Eau créa une race marine dont la couleur était grise. Enfin, Vent créa des hommes de couleur blanche, et ce fut les pires de tous. Leur désire de conquérir le monde les consumes toujours pour encore beaucoup d’entres eux, et ils exterminèrent à eux seul des populations entière, car leur haine envers la différence n’avait d’égale parmi les autres hommes. Ils sont la cause de la disparitions des hommes gris qui ne sont désormais plus de ce monde, car ils furent massacrés il y a très longtemps par cette race blanche incontrôlable. Ces mêmes hommes blancs sont également responsables de l’anéantissement de la race de nature, et ils asservirent le peuple de Feu. Bref, leur souhait est de dominer le monde. C’est pourquoi les Hauts elfes, ou elfes blancs, furent les plus pures et les plus sages de tous les elfes : Vent tira une leçon inoubliable de son échec avec les hommes, et ne reproduit plus sont erreur.

 

 

 

Puis vint la création des créatures parfaites. Elles furent réalisées dans la plus étroite collaboration qu’il y eut jamais entre les cinq premiers : ainsi naquirent les Dragons, la coopération éternelle.

            Eau, travaillant comme souvent étroitement avec Vent, leur donna une armature et une constitution solide comme l’acier, et ils furent aussi inébranlable qu’une montagne. Vent, lui, leur fournit des ailes, et une endurance exceptionnelle, de telle sorte qu’ils pouvaient parcourir des lieux et des lieux en quelques heures sans ressentir la moindre fatigue. Soleil leur forgea une carapace resplendissante à l’épreuve des coups que les flammes même n’eurent pas entamé. Feu leur présenta alors des armes capables de réduire des ville en cendre, qui furent redoutées fort longtemps dans tout ce monde. Puis vint Nature, et elle leur confectionna une âme pour les animer. Cette âme était pure et sans faille.

            Le règne de ces créatures parfaites fut incontesté, ou presque dans tout le monde connu à l’époque, et la ligue des Cinq prouva encore la supériorité de l’Union avec cette œuvre qu’aucun d’eux n’aurait pus réalisé seul, et dans laquelle ils mirent toute leur expérience : les Dragons d’Or. La magie ricochait sur leurs cuirasses, les flèches cliquetaient sur leurs armures, et les épées s’égaraient quand elles rencontraient leurs écailles. Ils semblaient indestructibles. Ils ne laissaient que cendres d’une troupe nombreuse d’ennemis. Ils plongeaient tel Vent lui-même dans la bataille, et étaient indétournables, possédant la constance d’Eau. Et les mages, bon ou mauvais, qui tentèrent de les corrompre, s’aperçurent à leur dépends que les âmes de Nature étaient trop solides et impénétrables pour êtres brisées.

Ils en fut créé cent onze. Qui sait combien il en reste encore dans le monde, car, contrairement à ce que beaucoup croyaient, ils sont mortels, bien que leur durée de vie soit inconnue et immensément étendue.

Mais le Mal, jaloux à son habitude, copia sombrement cette œuvre, et y mit toute sa noirceur ténébreuse. C’est ainsi que furent créés les Dragons Noirs, mauvais et voués au mal pour toute leur longue vie. Moins beaux et moins parfaits que leurs modèles, ils étaient pourtant puissants et solides comme le roc sombre, rapides comme l’ombre qui se glisse, et mortels comme de vils serpents. Leurs venins étaient inguérissables, et leurs griffes acérées comme des rasoirs.

 

 

Feu avait fait passé un peu de son désintéressement naturel dans les elfes noirs qu’était sa race propre. En effet, ceux-ci ne se mêlaient pas volontiers à ce qui ne les concernait pas directement, et ils ne s’engageaient en général dans une guerre seulement s’ils avaient subit des agressions armées de la part d’un ennemis. Cette passivité fut parfois un problème, car l’absence des elfes noirs était un manque pour les autres races.

            A l’inverse, les elfes solaires étaient influencés par l’insatiable curiosité que Soleil leur avait transmit en les créant. Mais ce fut parfois également un handicape, car la curiosité peut vous entraîner sur des chemins imprévus, pour votre bonheur, ou votre malheur.

 

            Ainsi les cinq remarquèrent-ils leur erreur, car l’union sert à effacer ou corriger les défauts des uns par les qualités des autres, aidant à une création plus réussie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Atlendor n’était, certes, pas le plus grand de tous les elfes, mais il avait une taille respectable. De plus, son rang de prince de clan le grandissait autrement que par la hauteur physique. Il était maître du savoir, et possédait une grande sagesse, ainsi qu’une expérience du combat développée par les années de guerres. Il avait une chevelure en bataille d’un blond éclatant comme le soleil, et on dit que quand il chevauchait au combat, on croyait voir les rayons de l’astre s’échapper de son heaume. Ses yeux avaient une couleur indéfinissable, qui variait entre le gris, le bleu, et le vert, faisant ainsi penser à la mer, bien qu’il fit partit des elfes solaires et non des elfes marins. Son nez aquilin faisait soupçonner une parenté avec des hauts elfes, bien que ce fût peu probable, car il était né de père elfe sylvain, et de mère elfe solaire, d’où son appartenance au clan du Soleil. Son port était noble, prouvant son appartenance à une haute lignée, et sa démarche légère et rapide. Sa détente respectable lui permettait de sauter des obstacles qu’il était difficile de franchir à pied. En revanche, il détestait la course, et si sa conviction morale lui faisait parfois parcourir de longues distances sans s’arrêter, il ne le faisait pas volontiers.

Son épée, Ralfing, était redoutée par tous les ennemis du Soleil, mais son adresse à l’arc, où il excellait, était légendaire. Ses flèches à l’empennage et à la pointe d’or rataient rarement leur cible, et sa rapidité à bander son arc et à décocher ses flèches était telle que le mouvement échappait parfois à l’œil.

Son heaume était d’or, son haubert également, ainsi que la poignée de son glaive, qui avait la forme de deux dragons enroulés l’un et l’autre, et dont les têtes formaient la garde. Les entrelacs formaient trois cavités dans lesquelles étaient sertis trois pierres : la plus près de la poignée était verte, ensuite venait une pierre bleue, puis une pierre rouge. Le pommeau était orné d’une pierre blanche aussi pur que l’eau d’un torrent de montagne. La lame, d’un alliage connu des seuls elfes solaires était solide, résistante, souple, et légère, et le nom de l’arme y était gravé en lettres solaires d’or,.

Sa bannière ainsi que son écu portaient un soleil d’or sur un champ d’azur.

 

Un éclair d’or fendit l’air : la flèche qu’Atlendor venait de décocher…

 

Il n’aime pas voir ou faire souffrir, même un ennemi. Pareillement, tuer ne lui plaisait point, et il ne le faisait qu’en cas d’extrême nécessité… ou de grande colère ; car parfois, le cœur dicte aux personnes les plus respectables des actions dignes d’un homme. Heureusement, l’esprit est là pour maîtriser et empêcher le cœur de commander le corps, et d’agir selon son bon vouloir. Les elfes pensent que les humains n’ont pas d’esprits. Ils en ont, mais ils sont étouffés par le cœur, qui commande chez l’homme. Là est la différence. L’homme réagit suivant ses sentiments, alors que l’elfe réagi selon sa sagesse. C’est pourquoi les elfes sont supérieurs aux humains.

 

Parcourant le camp, avant de pénétrer dans sa tente : elfes blessés. Membres en moins. Horreur. Pas de bruits. (Encore plus lourd.) Car les elfes utilisent leur esprit pour maîtriser leur corps, et résister à la douleur. Les humains non. Mais la torture des blessures parfois trop intense. Un elfe laisse parfois échapper un gémissement. Même si résiste à la douleur, blessure présente. Elfes non immortels (= mortels). Ils résistent à la souffrance, mais on peut les endommager. Là est le problème. Les hommes, en accord avec leurs mœurs et leur attitude belliqueuse, sont taillés pour le combat et possèdent dans ce domaine une science développée. Cependant que les elfes, eux, sont doués pour les affrontements moraux. Ne nous méprenons pas ; ce qu’ils nomment eux-mêmes ainsi, c’est l’art d’argumenter, de prouver que l’on a raison, de prouver sa sagesse, de bien tourner les phrases, de persuader et de convaincre. Bien que certains hommes se servent de cet art qui leur est impropre, on peu constater qu’ils ne donnent que des raisons fausses, de mauvais arguments, basés sur de fausses valeurs, et que les causes qu’ils défendent sont détestables. Mais il est tellement simple d’abuser la faiblesse morale des humains, que ces moutons se laissent convaincre.

            Or, il est malheureux de constater que la force, la brutalité et la violence propre aux humains est tout à fait à même d’ignorer, de maîtriser et d’anéantir l’art du combat moral. Hélas ! Les elfes, de par leur constitution psychologique, arrivent à contrôler leurs corps et de le faire obéir à leur esprit pour diminuer considérablement leur sensibilité à la souffrance et à la douleur. Ce résultat, obtenu après un long entraînement, est la démonstration de leur grande maîtrise sur leur enveloppe charnelle, qu’ils jugent seulement hôte de la partie la plus importante de leur personne, leur esprit, qui lui est la vraie force. Ce raisonnement est inverse chez les humains.

            Cependant, si l’on tue un elfe, il est bel et bien mort, et ses idées, son expérience, sa sagesse ne se propagent plus et sont perdues. Les autres elfes considèrent cela comme une perte bien plus douloureuse que la perte d’un corps. De même, si l’on coupe un membre à un elfe, il sera infirme. Un elfe n’est en aucun cas invulnérable aux coups, comme le pensent certains. S’ils sont insensibles, rien n’empêche pourtant de tuer ou molester un elfe.

            Ainsi, contre leur moralité, contre leurs mœurs, contre leur culture, contre leur art, et contre leur gré, ils durent développer eux aussi les science de la guerre, et, de par leur supériorité d’esprit et de sagesse, ils n’y arrivèrent que trop bien, disposant bientôt d’armes redoutables, et de guerriers aguerris, possédant une maîtrise des armes peu commune.

            Parmi tous les peuples des elfes, les plus doués dans l’art du combat, qui devint bientôt commun par nécessité, par vengeance et esprit de préservation de la culture, furent les Elfes Noirs, les plus grands guerriers du monde, premiers au combat, et au premier rang. Avec leurs propres armes, car ils étaient également des forgerons hors paire, ils terrorisaient les humains qui se heurtaient alors à des démons de feu. Ainsi paraissaient-ils au combat, et c’est sous cette forme qu’ils furent décrits dans les témoignages de soldats humains. Leur haine des hommes fut sans égale parmi les elfes, si ce n’est chez les Elfes solaires, qui, convaincus par leurs arguments, se rangèrent à leurs côtés pour tenter de détruire l’humanité. Ce fut en vain. Mais certains disent qu’un jour, les elfes se relèverons, et chasserons à jamais les hommes.

 

 

A ma fin : les Dragons doivent faire remarque aux elfes leur humanisation, leur vengeance dans le combat.

 

 

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